Notre commentaire «homme», est issu de «om», «omne», puis au bas moyen age, du latin «homo» lui-meme issu de l’ancien latin «hemo» [1] (et du latin «humus» sa terre) qui designe l’homme par opposition a toutes les dieux et a l’animal.

Notre commentaire «homme», est issu de «om», «omne», puis au bas moyen age, du latin «homo» lui-meme issu de l’ancien latin «hemo» [1] (et du latin «humus» sa terre) qui designe l’homme par opposition a toutes les dieux et a l’animal.

L’homme, du latin humus, la terre .

Le francais «Home», «homme», «hons», «hume» vient, [au possible age] du latin «homo» [2] derive du latin «humus» parce que –suivant J’ai legende- le premier homme en fut forme. [3]

Fu Adans, li premiers om, mis Fut Adam, le premier des hommes

Et entieres et soupoulis, Mis en terre et ensevelis

Et Eve, sa feme, avoec lui, Eve sa femme avec lui

Par qui nos euimes l’anui par qui nous avons ete accables

Une pume qu’Adans manga. [4] en pomme qu’Adam mangea.

Le sanskrit «Ksam» est la terre, qui donnera en grec «khamai», la terre (????? [5] ) qui donnera la latin «humus» [6] , «humi», ainsi, une terre qu’on eleve, voire qu’on remue reste en grec «khoma» (???? [7] ).

Le «humus» latin est l’equivalent grec du «Kthov», ou «???? [8] » ainsi que votre commentaire «Khamai», «?????» mot designant la terre sur laquelle nous marchons (Cette terre nommee » Gaia » avec les Grecs, par opposition au ciel, ainsi, J’ai terre ou nous marchons est « ??» [Ge]). Le «humus» [9] en latin designe lui, la terre, «ce qui est au sol» puis donnera le latin «homo».

Homme et «on»

«On» ou «hon», «hom», «omme», «un», «oum» au moyen age indiquait de maniere vague et generale les gens, des personnes.

Au roman de Renart (XII e siecle) :

Correctement savez tuit si»rement,

Cest parole apertement

Puis que hom est entrepris

Et par Force liez et pris [10]

Correctement puet l’en veoir au besoing

Qui l’aime et qui de lui a soing.

Notre pronom «on» derive du latin «homo», c’est-a-dire que le substantif «hons», homme a ete commande au sein d’ son acception absolue et pronominale. [11]

Autrefois on disait «ses hom» «ses barons» Afin de penser son «homme» et son «mari». [12]

En serments de Strasbourg:

Au sein des Serments de Strasbourg (an 842), «Om» «on» est forme de «homo» qui possedait le meme

sens en bas latin. [13]

… Si salvarai-eu cist meon fradre Karlo, et in adjudha [14] et in cadhuna [15] cosa,

si cum om [16] , per dreit, son fradra salvar dist…

[…Je defendrai notre frere Charles et je serai en aide en chaque chose (et l’aiderai

en toute circonstance) comme on devra d’apres l’equite defendre le frere]

L’expression «Si cum om » [17] recommence alors rendue avec «ainsi qu’on, ou par «comme on».

Par ailleurs, «Man» qui signifie proprement «homo» se voit i  nouveau en Allemand au sens de «on» [18]

Homme : le vassal

Au moyen age «hum» a J’ai signification de vassal et hume reste l’homme ou le soldat. «Hume», Humle» a Notre signification de «soumis», «modeste» [19] au sens latin de «humilis».

Dans J’ai Chanson de Roland (Xe siecle) :

Tu n’ies faire mes hum ne jo ne suis tis sire [20] . Tu n’est nullement mon vassal et je ne me sens pas ton seigneur.

Derives, «homage», «homaigre», «omage», engagement qu’on te prend envers le seigneur de le servir en chaque occasion, de le defendre de son propre corps.

La racine «homo» est prise ici dans le sens de la basse latinite, «vassal», qui se trouve souvent au sein d’ l’ancien francais [21] .

Au Xe siecle «omne» a J’ai signification de l»homme», parmi les autres.

L’ira fud granz, cum de senior, J’ai colere fut grande comme celle tout d’un roi,

Et sancz Lethgiers oc sant pavor ; Qui accusa le saint Leger pres de Chilperic

Ja lo sot bien ille celat, Mais il la sut beaucoup cacher

A nul omne no I demonstrat. [22] A nul homme y ne la montra.

Homme : l’etre humain.

Au XVI e siecle, «homme» et «humains» prennent un sens actuel :

Elegie de Clement Marot :

«J’ai en tresor jeunes ans et sante

Loyale amour et franche volonte

Obeissance, ainsi, d’autres bonnes trucs

Qui ne sont nullement en l’ensemble de hommes encloses [23]

Pour te servir, di?s qu’il te plaira prendre

Le cueur qui veult si hault cas entreprendre.» [24]

«Et trop plus kiffe etre serf en tes mains

Qu’en liberte parmi la totalite des humains» [25]

(13 decembre 2013 ; 25 avril site de rencontre telegraph dating gratuit 2021) _______________

Notes et references :

[1] Dictionnaire Felix Gaffiot, page 751 colonne I

[2] Glossaire Etymologique. Grammaire de la langue d’Oil. G.F. Burguy. Berlin 1853, F Schneider et comp. Tome III. Page 204. Colonne II.

[3] Dictionnaire Provencal. Dictionnaire d’une langue d’Oc. Tome II, page 410 , colonne I.

[4] Cronique Rimee de Philippe Mouskes (XIIIe siecle). Baron de Reiffenberg. Bruxelle Hayez, 1836, Tome I. Page 417, du par 10792 au par 10796

[5] Dictionnaire Grec francais Anatole Bailly, page 2120, colonne III : khamai», ????? : la terre. Venant du sankrit «ksah»

[6] Dictionnaire Felix Gaffiot, page 758, colonne III : humus : la sol, la terre

[7] Dictionnaire Anatole Bailly Page 2163 choma, ???? : la terre qu’on remue.

[8] Anatole Bailly page 2138 colonne I, «????» : Notre terre avec opposition a ce qui est bas, le lieu , la contree.

[9] Felix Gaffiot page 758 colonne II Humus : sol, terre, pays contree, region.

[10] Dictionnaire Godefroy . Tome 5, page 599 colonne I. (Roman de Renart)

[11] Grammaire en langue d’oil au XII e et XIII e siecles. G.F. Burguy. Berlin 1853, F Schneider et comp. Volume I. Page 176 : Hom, hum, om, on etc (homo)

[12] Serments de Strasbourg Ibid page 22

[13] Serments de Strasbourg Ibid page 21

[14] Les mots «et in cadhuna» ne forment pas de sens ; c’est pourquoi on prefere de lire er i  la place de et, pour ero, je serai. Quant au mot adjuda, c’est le aussi que celui d’aiude, en usage autrefois /…/ on evoque aujour’hui aide. Ces mots viennent des anciens verbes Latins adjuto et adjutor, comme quand on disait au sein d’ ce serment , et in adjutum ero.

[15] Pour le commentaire Cadhuna, il est derive du commentaire Latin quaque una, Afin de unaquaque. De la se paraissent formes nos mots Francais cashuns, chasuns, etc.